Adélaïde est dans sa chambre, le Soleil se couche, illuminant la pièce d’une lumière dorée. Allongée sur son lit, elle relit ses calculs au sujet du dernier prototype d’avion. Si tout fonctionne comme prévu, le prochain engin sera capable de voler à des altitudes seulement atteintes par les ballons sondes.
Elle tapote en rythme son crayon sur la page noire de chiffres et de divers symboles mathématiques.
“Le décrochage ne devrait se faire qu'à environ…” Sa propre voix est couverte par un terrible sifflement provenant de l’extérieur. La jeune fille se redresse, regarde par la vitre et scrute le ciel, les sourcils froncés.
“C’est quoi encore ce bordel…” murmure-t-elle
Soudainement, elle écarquille les yeux de surprise : des météorites traversent le ciel, d’énormes blocs de roches éparpillés laissant derrières eux une traînée de poussières.
Elle étouffe un cri quand un des rochers vient déchirer la toile d’un ballon, renversant dans son sillage la nacelle du zeppelin. Sous la vitesse et la violence du choc, les cordages se rompent, elle suit des yeux le dirigeable s'abîmer vers les nuages, de plus en plus rapide et disparaissant à travers la mer vaporeuse.
Elle recule sur son lit, sous le choc. Des pas retentissent dans le couloir, sa porte s’ouvre brusquement : c’est l’astromancien, les cheveux en batailles, son long manteau sur les épaules.
“Adélaïde !”
“Lloyd ! Qu’est ce qu’il vient de se passer ?! Qu’est ce qu’il se passe ?!” hurle-t-elle
“Je n’ai pas le temps de tout expliquer” annonce le scientifique à bout de souffle, restant dans l’encadrement de la porte, “Des météorites viennent s'abattre sur terre, on se ne sait pas d’où elles viennent, on a ...écoute, rejoint immédiatement les nacelles de secours. N’emporte rien, la station va chuter dans peu de temps !”
Adélaïde n’a pas le temps de répliquer que Lloyd repart de plus belle, les bruits de sa course se perdant dans le couloir.
Respirant rapidement, la jeune fille se lève, attrape son blouson qu’elle ferme jusqu’au cou. Elle doit se dépêcher, elle le sait, sa survie en dépend. Avant de partir, elle s'arrête sur le pas de la porte, elle ne devrait pas partir sans rien.
Balançant la tête de droite à gauche, elle hésite, doit-elle [[prendre son parachute|le parachute]], qui pourrait la sauver si elle ne peut pas rejoindre les nacelles, ou [[son sac|le sac]], contenant ses outils et ses calculs ?
Adélaïde rejoint le pont, en plein soleil se dessine une scène de terreur, courant en tous sens, les passagers tentent de rejoindre les nacelles de secours. Certains s’acharnent à boucler leurs parachutes, une femme court avec son enfant dans les bras, son blouson a peine enfiler.
Des craquements d’enfer se font entendre, elle lève la tête, certaines des structures métalliques commencent à rompre sous la torsion et le poid des dirigeables.
Adélaïde aperçoit Lloyd coordonnant les départs de nacelles de sauvetages.
“Les recherches…”
“Toutes les recherches sont dans le bureau, il n’a pas eu le temps de les prendre, personne n’a pensé à les prendre ! On ne peut pas les perdre, je ne peux pas laisser des mois de calculs et d’expériences se perdre. Il faut que je rejoigne son bureau” pense-t-elle
Jetant un dernier regard au ballon au dessus d’elle, elle se décide à gagner le bureau de l’Astromancien.
Courant sur la passerelle tribord, elle entend des cris au devant d'elle :
“..et ca va entraîner toute la flotte avec !”
Ralentissant, elle rejoint un groupe en train de regarder par dessus le bastingage. Elle suit leur regard : un des zeppelins secondaires perd de l’air à une vitesse alarmante, mais ses cordages sont endommagés, coincés, et l'empêche de se détacher.
Son poid pourrait faire basculer toute la flotte, elle ne sait pas combien de temps il tiendra.
Son regard vole du dirigeable endommagé à la poupe. Sa conscience la démange, devrait-elle [[sauver les recherches|sac recherche]], non négligeables et qui prédisent les prochains phénomènes de la planète ainsi que les instruments de calculs uniques ou plutôt [[s’occuper du zeppelin|sac zep]] immédiatement pour ne pas risquer plus de morts ?
Adélaïde rejoint le pont, en plein soleil se dessine une scène de terreur, courant en tous sens, les passagers tentent de rejoindre les nacelles de secours. Certains s’acharnent à boucler leurs parachutes, une femme court avec son enfant dans les bras, son blouson a peine enfiler.
Des craquements d’enfer se font entendre, elle lève la tête, certaines des structures métalliques commencent à rompre sous la torsion et le poid des dirigeables.
Adélaïde aperçoit Lloyd coordonnant les départs de nacelles de sauvetages.
“Les recherches…”
“Toutes les recherches sont dans le bureau, il n’a pas eu le temps de les prendre, personne n’a pensé à les prendre ! On ne peut pas les perdre, je ne peux pas laisser des mois de calculs et d’expériences se perdre. Il faut que je rejoigne son bureau” pense-t-elle
Jetant un dernier regard au ballon au dessus d’elle, elle se décide à gagner le bureau de l’Astromancien.
Courant sur la passerelle tribord, elle entend des cris au devant d'elle :
“..et ca va entraîner toute la flotte avec !”
Ralentissant, elle rejoint un groupe en train de regarder par dessus le bastingage. Elle suit leur regard : un des zeppelins secondaires perd de l’air à une vitesse alarmante, mais ses cordages sont endommagés, coincés, et l'empêche de se détacher.
Son poid pourrait faire basculer toute la flotte, elle ne sait pas combien de temps il tiendra.
Son regard vole du dirigeable endommagé à la poupe. Sa conscience la démange, devrait-elle [[sauver les recherches|les recherches]], non négligeables et qui prédisent les prochains phénomènes de la planète ainsi que les instruments de calculs uniques ou plutôt [[s’occuper du zeppelin|le zeppelin]] immédiatement pour ne pas risquer plus de morts ?
Considérant les recherches comme plus précieuses que tout, elle se décide à reprendre sa course vers la poupe. Arrivée devant le bureau, elle découvre la porte verrouillée. Adélaïde recule, prend une grande inspiration et se jette violemment contre la porte. Sous le choc, la porte cède, découvrant une pièce emplie de fumée.
Toussant, et agitant une main devant son visage, Adélaïde pénètre dans la pièce. Elle cherche à tâtons dans la pièce, et découvre une besace en cuir.
La considérant un instant, elle l’attrape avant de rejoindre le bureau, non loin de la fenêtre.
Elle contemple le bureau, devant elle s’étalent des feuilles de calculs, des schémas et autres diagrammes. Mais brille aussi une loupe, son regard se tourne alors vers la vitrine, dedans brillent des instruments, objets uniques aux mécanismes complexes qui leurs sont essentiels.
Elle doit faire un choix, son seul sac ne peut contenir et [[les feuilles de recherches]] et [[les instruments]].
“On peut gagner du temps en décrochant ce vaisseau” remarque t-elle
Elle doit trouver un objet tranchant pour rompre les cordes. Désespérée, elle regarde de toute coté, avant de se redresser : elle sent le parachute dans son dos.
“Je pourrais atteindre la nacelle juste en bas, détacher les cordes de là et sauter en parachute pour rejoindre le sol…” pense-t-elle.
L’idée est des plus périlleuse, devrait-elle [[chercher une hache|chercher]] ou [[sauter]] en bas directement ?
Poussant un soupir, elle se dirige vers la vitrine.
“On est plus à ca près” dit-elle entre ses dent
Elle agrippe la délicate poignée de la vitrine et ouvre violemment la porte verrouillée, faisant trembler les instruments. Avec le plus de précautions possibles, elle dépose les objets dans son sac.
“Première fois que je peux toucher l’astrolabe et c’est pour le sauver des flammes” remarque-t-elle avec ironie.
La fumée s'épaissit. Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement avant de se stabiliser à nouveau. Dans la cabine, tout se renverse, la porte claque violemment derrière elle. Adélaïde se précipite, mais la porte est bloquée pour de bon, quelque chose derrière semble la coincer.
Essayant de ne pas ceder à la panique, elle se retourne et voit l’une des grandes fenêtres éventrée. Elle se dresse, sentant son parachute dans son dos.
"Ce sera une bonne anecdotes si ça fonctionne" murmure-t-elle.
S'approchant de la baie vitrée, elle éparpille les éclats de verre brisée et ouvre la vitre. Elle regarde en bas avant de se plaquer contre le mur.
Elle prend de grandes inspirations, avant de fermer les yeux.
Calmant son souffle, elle relève le visage.
Elle passe ses jambes sur le bord de la fenètre, les bottes dans le vide et les mains fermement aggripées au rebord.
"Ce sera une bonne anecdotes....3, 4, 5" dit-elle entre ses dents
Donnant une grande poussée sur ses bras, elle se jette dans le vide.
Poussant un soupir, elle reste sur ses positions.
Les calculs sont trop importantes, elle ne sait pas combien de temps il faudra pour reproduires de telles recherches et expériences.
Elle rassemble le plus de feuilles possible et les fourre soigneusement dans son sac. Serrant les boucles de cuivre, elle ne remarque pas la fumée qui s’épaissit.
Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement avant de se stabiliser à nouveau. Dans la cabine, tout se renverse, la porte claque violemment derrière elle. Adélaïde se précipite, mais la porte est bloquée pour de bon, quelque chose derrière semble la coincer.
Essayant de ne pas ceder à la panique, elle se retourne et voit l’une des grandes fenêtres éventrée. Elle se dresse, sentant son parachute dans son dos.
"Ce sera une bonne anecdotes si ça fonctionne" murmure-t-elle.
S'approchant de la baie vitrée, elle éparpille les éclats de verre brisée et ouvre la vitre. Elle regarde en bas avant de se plaquer contre le mur.
Elle prend de grandes inspirations, avant de fermer les yeux.
Calmant son souffle, elle relève le visage.
Elle passe ses jambes sur le bord de la fenètre, les bottes dans le vide et les mains fermement aggripées au rebord.
"Ce sera une bonne anecdote....3, 4, 5" dit-elle entre ses dents
Donnant une grande poussée sur ses bras, elle se jette dans le vide.Considérant les recherches comme plus précieuses que tout, elle se décide à reprendre sa course vers la poupe.
Arrivée devant le bureau, elle découvre la porte verrouillée. Ouvrant fébrilement son sac, elle en sort une pince et s’attaque frénétiquement au mécanisme de la poignée. La porte s’ouvre dans un grincement, laissant apparaître la bureau rempli de fumée.
Toussant, et agitant une main devant son visage, Adélaïde pénètre dans la pièce. Elle cherche à tâtons dans la pièce, et découvre une besace en cuir.
La considérant un instant, elle l’attrape avant de rejoindre le bureau, non loin de la fenêtre. Elle contemple le bureau, devant elle s’étalent des feuilles de calculs, des schémas et autres diagrammes. Elle fourre soigneusement les feuilles dans son sac.
Attrapant une page, elle bouscule une loupe et arrête tous mouvements, son regard se tourne alors vers la vitrine, dedans brillent des instruments, objets uniques aux mécanismes complexes qui leurs sont essentiels.
“On est plus à ça près” dit-elle entre ses dent
Elle agrippe la délicate poignée de la vitrine et ouvre violemment la porte verrouillée, faisant trembler les instruments. Avec le plus de précautions possibles, elle dépose les objets dans son sac.
“Première fois que je peux toucher l’astrolabe et c’est pour le sauver des flammes” remarque-t-elle avec ironie.
La fumée s'épaissit. Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement avant de se stabiliser à nouveau. Dans la cabine, tout se renverse, la porte claque violemment derrière elle. Elle se précipite vers elle, s'acharne sur le panneau de bois mais ce dernier ne fléchit pas.
Essayant de ne pas céder à la panique, elle regarde autour d’elle : dans une armoire ouverte, git une hache a coté d’une paire de bottes.
Elle se saisit du lourd objet, le lève haut et l’abat violemment contre la porte qui craque vite sous ses coups. Perdant son équilibre dans la vitesse, elle atterrit contre le mur du couloir. Reprenant son souffle, elle inspire de grande bouffées d’air.
Repassant par le pont tribord, elle voit le dirigeable éventré, toujours suspendu dans l’ombre du vaisseau mère.
Regardant sa hache toujours dans la main, elle hésite, le temps se fait court, elle peut [[essayer de rompre les cordages|sauver le zep]] depuis sa position ou [[rejoindre directement la passerelle de sauvetage|aller à la nacelle]].
“On peut gagner du temps en décrochant ce vaisseau” remarque t-elle.
Fébrilement, elle fouille dans son sac, trouvant une paire de pinces coupantes. S’approchant du bord, elle déclare :
“Laissez moi faire, j’ai de quoi détacher les cordes”.
Serrant fermement les pinces, elle s’acharne sur les cordages. Des gouttes de sueur lui tombe dans les yeux, le temps presse. Un nouveau craquement retentit quand la dernière corde rompt finalement sous les assauts de l’objet tranchant. Les cordes se déroulent en un clin d'oeil, un claquement dans l'air se fait entendre dans son sillage. Sous le vaisseau mère, le dirigeable se détache, déclinant vers les nuages.
La jeune fille se redresse, reprenant son souffle. Elle regarde des deux côtés, elle ne sait pas si elle a le temps de [[sauver les recherches]] ou si elle devrait [[rejoindre directement le pont d’embarcation]]
Agrippant sa hache à deux mains, elle dégage des mèches de son visage et lève haut l’objet tranchant. Inspirant, elle abat violemment l’outil sur les cordes.
Elle entame les liens, mais ils ne cèdent pas, répétant la manoeuvre, abattant la hache de plus en plus violemment. Soudain, la corde cède, le tranchant de la lame rencontrant le métal du bastingage.
Les cordes se déroulent en un clin d'oeil, rejoignant le vaisseau plus bas, un claquement dans l'air se fait entendre. Lâchant la hache, Adélaïde reprend sa course vers l’avant du navire.
Les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère :
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fait encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle :
“Il fallait..il fallait que j’aille chercher tes recherches…” explique-t-elle en montrant son sac.
“Mes ..mes recherches ? Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Et en prime j’ai les instruments de mesure ! Alors ne m’engueule pas pour avoir sauver nos biens les plus précieux !” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe à bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz.
“Accroche toi...le décrochage va être rude”.
Un bruit sourd retentit, Adélaïde se décide a rejoindre l’avant du navire.
“Tout est train de s'effondrer de toute façon” pense-t-elle
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère :
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle
“Il fallait..il fallait que j’aille chercher tes recherches…” explique-t-elle en montrant son sac.
“Mes ..mes recherches ? Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Et en prime j’ai les instruments de mesure ! Alors ne m’engueule pas pour avoir sauver nos biens les plus précieux !” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz.
“Accroche toi...le décrochage va être rude”
Considérant qu’il faut risquer le tout pour le tout, elle cours vers le bout de la passerelle.
Arrivée devant le bureau, elle découvre la porte verrouillée. Ouvrant fébrilement son sac, elle en sort une pince et s’attaque frénétiquement au mécanisme de la poignée. La porte s’ouvre dans un grincement, laissant apparaître la bureau rempli de fumée.
Toussant, et agitant une main devant son visage, Adélaïde pénètre dans la pièce. Elle cherche à tâtons dans la pièce, et découvre une besace en cuir, la considérant un instant, elle l’attrape avant de rejoindre le bureau, non loin de la fenêtre. Elle contemple le bureau, devant elle s’étalent des feuilles de calculs, des schémas et autres diagrammes. Elle fourre soigneusement les feuilles dans son sac. Attrapant une page, elle bouscule une loupe et arrête tout mouvement, son regard se tourne alors vers la vitrine, dedans brillent des instruments, objets uniques aux mécanismes complexes qui leurs sont essentiels.
“On est plus à ca près” dit-elle entre ses dent.
Elle agrippe la délicate poignée de la vitrine et ouvre violemment la porte verrouillée, faisant trembler les instruments. Avec le plus de précautions possibles, elle dépose les objets dans son sac.
“Première fois que je peux toucher l’astrolabe et c’est pour le sauver des flammes” remarque-t-elle avec ironie.
La fumée s'épaissit. Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement avant de se stabiliser à nouveau. Dans la cabine, tout se renverse, la porte claque violemment derrière elle. Elle se précipite vers elle, s'acharne sur le panneau de bois mais ce dernier ne fléchit pas. Essayant de ne pas céder à la panique, elle regarde autour d’elle : dans une armoire ouverte, git une hache a coté d’une paire de bottes.
Elle se saisit du lourd objet, le lève haut et l’abat violemment contre la porte qui craque vite sous ses coups. Perdant son équilibre dans la vitesse, elle atterrit contre le mur du couloir. Reprenant son souffle, elle inspire de grande bouffées d’air.
Repassant par le pont tribord, elle ne voit plus de trace de dirigeable.
“Il déja passé la mer de nuage” murmure-t-elle dans un souffle.
Un bruit sourd retentit au dessus d’elle, les poutres en acier ne vont plus tenir longtemps.
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère /
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle :
“Il fallait..il fallait que j’aille chercher tes recherches…” explique-t-elle en montrant son sac.
“Mes ..mes recherches ? Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Et en prime j’ai les instruments de mesure ! Alors ne m’engueule pas pour avoir sauver nos biens les plus précieux !” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz.
“Accroche toi...le décrochage va être rude”
“Je vais pas me jeter dans le vide comme ca !” pense-t-elle
A quelques mètres se trouve la salle de commande. Elle s’y dirige à grand pas et d’un coup d’épaule, ouvre violemment la porte. A travers l’épaisse fumée, elle trouve l’objet qui l’intéresse : une hache brillante.
Une nouvelle secousse agite le vaisseau, Adélaïde perd l'équilibre et se raccroche à la barre. Se relevant tant bien que mal, elle attrape la hache et l’arrache du mur avant de ressortir, déterminée a détacher le navire.
Rejoignant le bastingage, elle écarte les hommes toujours penchés vers le vide.
Agrippant sa hache à deux mains, elle dégage des mèches de son visage et lève haut l’objet tranchant. Inspirant, elle abat violemment l’outil sur les cordes.
Elle entame les liens, mais ils ne cèdent pas, elle répète alors la manoeuvre, abattant la hache de plus en plus violemment. Soudain, la corde cède, le tranchant de la lame rencontrant le métal du bastingage.
Les cordes se déroulent en un clin d'oeil, rejoignant le vaisseau plus bas, un claquement dans l'air se fait entendre dans son sillage.
Regardant sa hache toujours dans ses mains, elle hésite, le temps se fait court, elle peut [[essayer de sauver les recherches|recherches]] depuis sa position ou [[rejoindre directement la passerelle de sauvetage|nacelle]].
“Ce sera une bonne histoire à raconter si je survis.” ricane-t-elle
Prenant appuie sur les barres de métal, elle s’assoit sur la bastingage, les pieds dans le vide. Prenant une grande inspiration, elle saute.
Evidemment, elle n’a pas calculer son atterrissage et se raccroche d’une main au bastingage du vaisseau en péril.
Poussant un cri, elle arrive à agripper son autre main, dans un autre cri, elle tire sur ses bras et arrive à hisser ses jambes. Elle se laisse tomber de l’autre côté, sur le plancher de bois.
Arrivée devant les cordes, elle tire violemment sur certaines extrémités, forçant sur les points faibles des noeuds. Dans un claquement sec, la corde se déroule, manquant de peu d'entraîner les mains de la jeune fille.
Elle recule précipitament vers le bastingage, sentant les bars métalliques s’enfoncer dans son sac.
Elle se retourne, regarde dans le vide et inspire. Le temps presse, le ballon est deja en train de perdre de l’altitude à une vitesse exponentielle.
Elle passe à nouveau ses jambes de l’autre coté, ses pieds dans le vide et ses mains fermement aggripées au bastingage.
Elle prend une dernière une grande inspiration.
“Ce sera une bonne histoire à raconter...” répète-elle.
Donnant une grande poussée sur ses bras, elle se jette dans le vide.Un bruit sourd retentit, Adélaïde se décide a rejoindre l’avant du navire.
“Tout est train de s'effondrer de toutes façons” pense-t-elle
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle
“Il fallait..il fallait que je détache un des zeppelin supérieur…” explique-t-elle
“Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Et en prime j’ai gagné du temps ! Le zeppelin nous aurait entrainer dans sa chute” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz
“Accroche toi...le décrochage va être rude”
Considérant les recherches comme plus précieuses que tout, elle se décide à reprendre sa course vers la poupe, la hache toujours en main. Arrivée devant le bureau, elle découvre la porte verrouillée. Adélaïde recule, lève haut l'objet tranchant et l'abat viollement sur la porte. Sous le choc, la porte cède, découvrant une pièce emplie de fumée.
Toussant, et agitant une main devant son visage, Adélaïde pénètre dans la pièce. Elle cherche à tâtons dans la pièce, et découvre une besace en cuir.
La considérant un instant, elle l’attrape avant de rejoindre le bureau, non loin de la fenêtre.
Elle contemple le bureau, devant elle s’étalent des feuilles de calculs, des schémas et autres diagrammes. Mais brille aussi une loupe, son regard se tourne alors vers la vitrine, dedans brillent des instruments, objets uniques aux mécanismes complexes qui leurs sont essentiels.
Elle doit faire un choix, son seul sac ne peut contenir et [[les feuilles de recherches|hache r]] et [[les instruments|hache i]].
Poussant un soupir, elle se dirige vers la vitrine.
Elle agrippe la délicate poignée de la vitrine et ouvre violemment la porte verrouillée, faisant trembler les instruments. Avec le plus de précautions possibles, elle dépose les objets dans son sac.
“Première fois que je peux toucher l’astrolabe et c’est pour le sauver des flammes” remarque-t-elle avec ironie.
La fumée s'épaissit. Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement avant de se stabiliser à nouveau.
Jetant un dernier regard autour d'elle, Adélaïde se décide à rejoindre l’avant du navire.
“Tout est train de s'effondrer ” pense-t-elle
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère :
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle
“Il fallait..il fallait que j’aille chercher les instruments de mesures…” explique-t-elle en montrant son sac
“Les instruments? Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Alors ne m’engueule pas pour avoir sauver nos biens les plus précieux !” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz.
“Accroche toi...le décrochage va être rude”
Poussant un soupir, elle reste sur ses positions.
Les calculs sont trop importantes, elle ne sait pas combien de temps il faudra pour reproduires de telles recherches et expériences.
Elle rassemble le plus de feuilles possible et les fourre soigneusement dans son sac. Serrant les boucles de cuivre, elle ne remarque pas la fumée qui s’épaissit.
Soudain un grincement sinistre se fait entendre, le dirigeable penche brusquement.
Jetant un dernier regard autour d'elle, Adélaïde se décide à rejoindre l’avant du navire.
“Tout est train de s'effondrer ” pense-t-elle
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans la navettes. Au loin, Lloyd la repère :
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas a bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il
La jeune fille reprend son souffle
“Il fallait..il fallait que j’aille chercher tes recherches” explique-t-elle en montrant son sac
“Mes recherches ? Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Alors ne m’engueule pas pour avoir sauver nos biens les plus précieux !” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz.
“Accroche toi...le décrochage va être rude”Un bruit sourd retentit, Adélaïde se décide a rejoindre l’avant du navire.
“Tout est train de s'effondrer de toute façon” pense-t-elle
Arrivée sur le pont d’embarcation, elle remarque que les derniers passagers embarquent dans les navettes. Au loin, Lloyd la repère.
“Adélaïde ! Pourquoi n’es tu pas à bord d’une navette ?! Qu’est ce que tu fais encore ici ?!” s'époumone-t-il.
La jeune fille reprend son souffle :
“Il fallait..il fallait que je détache un des zeppelins supérieurs…” explique-t-elle.
“Oh c’est pas vrai ..” Il marque une pause “Tu aurais pu te tuer !”
“Mais je ne le suis pas ! Et en prime j’ai gagné du temps ! Le zeppelin nous aurait entrainer dans sa chute” hurle-t-elle
L’astromancien se passe une main sur le visage :
“On n’a pas le temps pour ça...embarque dans cette nacelle” ordonne-t-il
Sans répliquer, Adélaïde s’installe a bord du vaisseau de sauvetage. Lloyd la rejoint, mettant en route le brûleur à gaz
“Accroche toi...le décrochage va être rude”